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Apr 25, 2024

Les fans de surf sont ravis du prochain "Battle over Beard Oil" alors que Quiksilver, Billabong et RVCA s'apprêtent à défier la domination du marché de Hurley !

Par Derek Rielly il y a 2 jours "Si j'avais écouté les gens qui disaient que le surf n'était pas pour moi à cause de la mélanine que possède ma peau, j'aurais une existence différente." Je doute qu'il y ait une personne qui ait jamais

Par Derek Rielly

il y a 2 jours

"Si j'avais écouté les gens qui disaient que le surf n'était pas pour moi à cause de la mélanine que possède ma peau, j'aurais une existence différente."

Je doute qu'il y ait une seule personne qui ait jamais rencontré Selema Masekela, à part Chas et Circé et je ne suis pas exactement sûr de ce qui s'est passé là-bas, une sorte de poison légal brûlant même si je n'ose pas le demander, qui ne s'éloigne pas fermement sous son épeler.

Prenons un instantané de la première fois où j'ai rencontré l'identité des sports extrêmes. C'était en 2017 et, avec Chas, je visitais le Kelly Slater Surf Ranch à Lemoore, en Californie, à l'invitation de Dave Prodan de la WSL.

Sal occupait l'une des banquettes du jacuzzi chauffé du Surf Ranch, après les vagues qui nous étaient attribuées. Sal, il était Sal à l'époque, et juste au moment où j'étais sur le point d'entrer dans le tourbillon tourbillonnant, chauffé à une agréable température de cent degrés et offrant le répit nécessaire de le froid hivernal et un remède possible à une terrible gueule de bois, son téléphone sonna.

Sal m'a demandé de fouiller dans sa tenue colorée qui était emballée sur un tonneau, assez de vêtements pour suggérer, ou espérais-je, qu'il était nu dans le réservoir, et de le récupérer.

C'était Kelly Slater.

«Répondez», ordonna-t-il, ce que je fis. Kelly resta silencieux lorsqu'il entendit ma voix, signe avant-coureur de la vendetta qui couvrait pendant les six années suivantes.

Après un éclat de rire et quelques gloussements, Sal raccrocha. Malgré une adiposité élargie, il a englouti barre protéinée après barre protéinée, m'informant des propriétés bénéfiques pour la santé des friandises aux pépites de chocolat emballées dans du papier d'aluminium.

Les histoires coulaient comme une rivière de miel et je suis reparti, comme tous ceux qui tournaient sur son orbite ce jour-là, fan à vie.

Un post partagé par snowman (@snowman)

Je n'ai plus eu de nouvelles de Sal, je savais seulement en passant qu'il était passé à Selema, mais aujourd'hui, j'ai vu qu'il avait eu cinquante-deux ans et, pour marquer l'occasion, il avait écrit de manière émouvante sur sa vie de surfeur.

La photo numéro un a été prise il y a 35 ans par ma mère @b2bharmony. La photo numéro deux a été prise la semaine dernière par @patstacyfilm. Aujourd'hui, le 28 août, c'est mon 52e anniversaire. Le jeune de 17 ans sur la première diapositive n’avait aucune idée de l’endroit où le mènerait la planche sous son bras. Tout ce qu'il savait, c'est qu'au moment où il s'est levé pendant cinq secondes lors de la première vague à Cherry Street à Carlsbad, en Californie, en 1988, sa vie a changé à jamais. La dépendance s’en est suivie.

Depuis ce jour, une quête incessante du « sentiment » m'a emmené au-delà de mes rêves les plus fous et m'a transporté vers les océans et les mers de la planète. Cela m'a donné des amitiés profondes, significatives et durables avec des êtres humains vraiment magnifiques et m'a aidé à créer et à développer une carrière de narrateur que je continue d'apprécier plus que jamais.

Sur le papier, rien de tout cela n’était censé arriver. Je viens des appartements St. Marks à Staten Island, dans l'État de New York, avec une brève apparition à Attleboro, dans le Massachusetts. Je suis le fils d'un exilé politique sud-africain et d'un immigrant haïtien. Le surf n'était pas censé m'arriver, mais c'est arrivé. Si j'avais écouté les gens qui disaient que le surf n'était pas pour moi à cause de la quantité de mélanine que possède ma peau, j'aurais une existence complètement différente.

Il n'y a pas d'autre boîte que celle dans laquelle la société fait des heures supplémentaires pour vous mettre. Devenez bizarre, essayez des conneries qui ne sont pas censées être pour vous et voyez ce qui se passe. Oh, et pendant que vous y êtes… PRENEZ AVEC JOIE TOUTE L'ESPACE QUE VOUS POUVEZ.

N'est-ce pas la vérité !

Lecteurs, partagez vos histoires Sal ci-dessous. Chas, pas toi.